Et si Jon Jones ne participait pas à l’événement UFC à la Maison-Blanche… mais à un combat en Russie, sur la mythique Place Rouge, face à une légende vivante du MMA ? C’est le scénario inattendu proposé à « Bones », recalé par Dana White mais courtisé par un promoteur bien décidé à le voir affronter Fedor Emelianenko, ancien champion charismatique et respecté du Pride FC.
Fedor vs Jones... en Russie ?
Alors que sa présence à l’événement UFC prévu à la Maison-Blanche en 2026 semblait compromise, Jon Jones a reçu une offre étonnante. En marge d’un gala de boxe bare-knuckle organisé par l’IBA, le champion a été approché par Al Siesta, président de l’IBO.
Ce dernier lui a proposé une alternative spectaculaire : combattre Fedor Emelianenko… sur la Place Rouge, à Moscou. « Écoute-moi bien, si ça [la Maison-Blanche] ne se fait pas, j’ai une alternative pour toi », a lancé Siesta à Jones. « La Place Rouge, ça te dirait ? Si on s’entend avec Dana White, on t’y emmène comme alternative. Dana, je vais t’en parler… Je vais te trouver quelqu’un comme Fedor. »
Une proposition folle, qui a visiblement flatté Jones mais qu’il a poliment déclinée : « Non », a répondu le champion. « Personne ne veut voir Fedor et moi nous battre. Je ne veux pas affronter Fedor, je l’adore. C’est l’un de mes grands modèles depuis longtemps. C’est pareil avec Anderson Silva. Ces gars-là m’ont inspiré quand j’étais jeune, et ça ne changera jamais. »
Jon Jones gets Red square fight offer in Moscow @JonnyBones was a guest of honor at the IBO Bare Knuckle event, where IBO Pro head @Al_Siesta proposed the idea of a boxing fight in the very heart of Moscow. pic.twitter.com/xivW0Nv9uo
— Red Corner MMA (@RedCorner_MMA) July 28, 2025
Jon Jones, encore lié à l’UFC
Au-delà de l’hommage rendu à Fedor, Jon Jones a rappelé un point essentiel : il reste sous contrat avec l’UFC. Une clause qui l’empêche d’accepter des combats en dehors de l’organisation, même pour un événement aussi inédit qu’un choc à Moscou. « Mon contrat avec l’UFC m’interdit de négocier », a-t-il précisé à Al Siesta. Alors que Dana White prépare une carte « historique » à la Maison-Blanche, Jones reste à l’écart, considéré comme un risque par le patron de l’UFC. Et malgré les propositions spectaculaires venues de Russie, Bones semble déterminé à respecter ses engagements contractuels… tout en rêvant, peut-être, d’un ultime grand combat sous la bannière de l’UFC.